2007 : Embranchement Société Métallurgique de l'Ariège Pechiney à Tarascon/Ariège

Merci à tous pour vos travaux sur le sujet   
Le locotracteur n°3 pourrait bien être un Batirhur.
Afin de comparer avec la photo de "Canidou" j'ajoute une photo du Batirhur du silo Bordeaux-Letierce de Bassens (33):
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LN/JCP.

En effet, la ressemblance entre les 2 engins est frappante.


Fabrice, excellent travail du "traçage" des voies de l'EP et des environs.

Sujet passionnant (et je découvre l'existence de ces hauts-fourneaux).
Chapeau aussi pour la carte : merci pour le partage !

Labourd-Navarre a écrit:Le locotracteur n°3 pourrait bien être un Batirhur.
Afin de comparer avec la photo de "Canidou" j'ajoute une photo du Batirhur du silo Bordeaux-Letierce de Bassens (33):

Merci Jean-Claude. 
Effectivement la similitude des deux engins est frappante voire évidente.
S'il s'agit d'un Batignolles-Chatillon, nous aurions donc affaire à un 8220 BNV construit avant ou en 1960.
A cette dernière date, Batignolles-Chatillon a été repris par Rhuhrtaler Maschinenfabrik.
Les spécialistes "locotracteurs" de Rail & Industrie doivent avoir de la documentation sur ces engins ?

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Sur cette photo de Canidou, on remarque une passerelle d'intercirculation ainsi que, outre la conduite générale, une conduite d'accélération (?). Donc locotracteur couplable UM ?

Bonjour à tous,

voilà pourquoi j'aime tant ce forum!
Des sujets passionnants, des intervenants passionnés avec une doc de malade, une ambiance paisible, des échanges et un partage exceptionnel!
MERCI pour tout cela!!!!

Canidou... Les voies du faisceau avec les wagons... OUAH!!! Terrible!!! MERCI!!!
J'ai la première en stock mais pas la seconde...
Cet Ep recevait au final une variété assez impressionnante de wagons, silo Pechiney, puis des versions plus moderne par la suite, des tombereaux bâchés, des plats Res, je me souviens y avoir vu également des Rils... Bref, de quoi faire quelque chose de vraiment sympa en modélisme!

Par rapport aux manœuvres des wagons pour les refouler des voies en impasse dans l'usine, c'est effectivement étonnant que lors de la construction, il n'y ait pas eu de tiroir de manœuvre construit côté remise des locotracteurs car vu la configuration de l'accès, cela veut dire que la voie principale était occupée le temps de la manœuvre...!!!???
Quoique, remarque, c'était aussi le cas à Albi pour les trémies de charbon qui desservaient la centrale thermique... La voie était bien occupée, le temps que la rame soit refoulée dans l'Ep et inversement pour revenir vers Albi ville...

Bon dimanche, en espérant que vous allez tous bien!
Salutations amicales.
Laurent.

Bonjour à tous.
Un locotracteur Batignolles-Châtillon à 3 essieux accouplés par bielles fut livré à l'usine le 23 juillet 1954.
Il était absolument identique aux BC n° 1 à 5 du CF de l'Est de Lyon;  il sera cédé à l'EL en 1961 et logiquement, il y deviendra le n° 6 .

En 2004, il sera mis en vente suite à la fermeture de l'EL:

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Document LN/JCP.

On le retrouve ensuite en activité à la Cellulose du Rhône à Tarascon sur Rhône.
Fin 2013, il était en service au port de Rouen sur l'ITE Socomac-silos Soufflet, après avoir été révisé/reconditionné par Patry.


Sources: le CF de l'Est de Lyon des Editions du Cabri, et l'aide précieuse de l'ami Georges 
LN/JCP.

BAGGINI Laurent a écrit:



Par rapport aux manœuvres des wagons pour les refouler des voies en impasse dans l'usine, c'est effectivement étonnant que lors de la construction, il n'y ait pas eu de tiroir de manœuvre construit côté remise des locotracteurs car vu la configuration de l'accès, cela veut dire que la voie principale était occupée le temps de la manœuvre...!!!???
Quoique, remarque, c'était aussi le cas à Albi pour les trémies de charbon qui desservaient la centrale thermique... La voie était bien occupée, le temps que la rame soit refoulée dans l'Ep et inversement pour revenir vers Albi ville...

Non la voie principale n'était pas engagée par la manœuvre dite intérieure.
Le tiroir de la remise des locos suffisait amplement. Les locos prenaient en charge que quelques wagons (3 maxi pour les + lourd ?) compte tenu des contraintes de la montée de wagons lourdement chargés vers l'usine où ils étaient livrés chacun dans leur unité. Et puis la distance ne posait pas problème pour faire plusieurs A/R sous l’œil blasé des quidams du coin... On entendait à l'époque plusieurs fois dans la matinée, le "klaxon" de l'engin traversant le passage à niveau... Maintenant c'est la corne des poids lourds ibériques au rond point de Sabart passant sur la RN 20. Changement d'époque !

Bonsoir Canidou,

merci pour les explications.

Amicalement.
Laurent.